Le suivi et la protection des identités numériques sont critiques et vont le devenir davantage avec les menaces post-quantiques.
L’adoption des applications SaaS, des micro-services, de l’IoT et de l’IA agentique vont exiger une protection renforcée des identités numériques pour un nombre croissant de composants logiciels et d’objets connectés.
Inévitable et complexe, cette transition exige une bonne préparation, en particulier des infrastructures PKI. « D’ici à 2030-2035, la cryptographie classique sera dépréciée, puis interdite. Nous aidons à mettre en place une PKI dont les certificats sont résistants aux attaques post-quantiques, » explique Pierre Codis, directeur Keyfactor France et directeur commercial de la zone Europe.
Il recommande de commencer par un état des lieux pour classer ses actifs (certificats numériques, clés de sécurité, protocoles et dispositifs connectés) selon trois critères : la sensibilité des données protégées, leur durée de vie et le niveau de risque en cas de compromission.
Plus de précisions dans l’interview accordée à DCloud News, le 10 octobre dernier :
