Un logiciel client unifié et une équipe Threat Hunting soutiennent la protection globale du parc micro-informatique, serveurs, PC et smartphones inclus.
Qu’est-ce qui différencie l’éditeur de logiciels de cybersécurité finlandais des 135 autres acteurs du marché ?
« C’est notre capacité à bloquer la cybermenace dans tous ses cycles : pro-actif, réactif et hyper-réactif, » explique Guillaume Gamelin, Regional Vice-President de F-Secure lors des Assises 2020 à Monaco mi-octobre.
« Notre logiciel client est capable de combiner plusieurs solutions en une, avec un seul process s’exécutant sur la machine : un scanner de vulnérabilités, une solution de test d’infrastructures, l’antivirus classique et les outils EDR contre les menaces avancées. »
Il convient aussi de protéger les objets connectés, les systèmes annexes d’ouverture de portes ou de climatisation, des cibles de choix repérées par les hackers, en particulier, dans l’industrie et la distribution de produits pharmaceutiques.
Historiquement, l’éditeur F-Secure vient du monde des opérateurs de télécommunications qui fournissent une protection aux smartphones du grand public et progressivement aux objets connectés.
Guillaume Gamelin confirme l’importance de l’être humain dans la lutte contre le cybercrime : « le Machine Learning aide à la décision, mais il faut toujours quelqu’un derrière pour prendre la décision. »
Les chasseurs de menaces, organisés en équipe de soutien, interviennent à la demande de clients PME et d’organisations de taille moyenne. Leur expertise ? Appréhender les attaquants qui profitent de la moindre faille système ou applicative pour s’introduire dans le réseau d’entreprise, dérober, chiffrer ou détruire des données numériques.
