« Le seul moyen de faire entrer la sécurité dans les applications de santé c’est qu’elles deviennent plus pratiques qu’auparavant », observe Philippe Tourron, le RSSI de l’Assistance Publique des Hôpitaux de Marseille (APHM), hébergeur de santé agréé depuis 2012.
Dans un contexte d’urgences médicales, d’usages mobiles et de délais d’ouverture de session très courts, il gère une bulle d’infrastructure, un cloud circonscrit capable d’héberger trois cents applications destinées aux utilisateurs internes et externes.
Le bastion Wallix contribue à maîtriser les flux des mainteneurs et à protéger les accès distants. Reste à garantir la sécurité de briques embarquées au sein d’applications toujours plus fragmentées.
Voir la première partie de l’interview accordée aux Assises de la Sécurité 2017 :
Réagir vite en cas de crise
« Le partage d’informations, c’est la seule manière de lutter efficacement contre des attaques que l’on ne connaît pas à l’avance[…].Depuis 2012, une gestion de crise est organisée, avec des entraînements pour nous permettre de réagir très vite dès qu’on a un problème informatique qu’on ne sait pas résoudre complètement par une seule personne » , témoigne Philippe Tourron, RSSI de l’Assistance Publique des Hôpitaux de Marseille (APHM).
Voir la seconde partie de l’interview accordée aux Assises de la Sécurité 2017 :